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Vous aimez la liberté. Vous aimez la flexibilité. Vous aimez le sens des responsabilités. Vous aimez le barrage de mauvaises communications incessantes… Eh bien, non, vous n’aimez pas. Malheureusement pour nous, nous n’avons pas toujours la possibilité de choisir tous les avantages et de refuser les inconvénients. Mais, est-il vraiment vrai que le travail à distance entraîne « des malentendus incessants » ? C’est peut-être exagéré, mais pour l’employé distant distrait ou paresseux, c’est une triste réalité. La bonne nouvelle, c’est que les managers et le personnel dispersés géographiquement sont déjà équipés des outils nécessaires pour surmonter cette maladie très courante. Il y a encore une autre bonne nouvelle : ce n’est pas un logiciel et c’est gratuit, en plus.
La communication est le pivot
Surcommuniquer
La communication en entreprise et dans la vie en général, est très importante. J’admets que je ne suis pas le meilleur communicateur, il semble que mon travail de premier cycle, ironiquement, n’a pas beaucoup aidé à cela, mais avec près de 15 ans de gestion des équipes à distance dans le monde entier, j’ai appris que plus de communication est toujours mieux que moins de communication. Même lorsque vous pensez que cela vous semble » trop « , cela ne le semble que parce que c’est plus que ce dont les équipes locales ont besoin. Il s’avère qu’il semble y avoir une relation entre la proximité physique et la quantité de communication nécessaire au bon fonctionnement des équipes. Mais, nous le savons déjà grâce au taux étonnamment élevé de relations à distance réussies, n’est-ce pas ? Sans une saine portion de surcommunication, l’équipe se déconnecte de son leader, de son projet, de ses objectifs et de son organisation. Fixez l’équipe à son objectif avec le » pivot » de la surcommunication.
Surcommuniquer régulièrement
La communication sporadique de votre gestionnaire ou de votre superviseur est frustrante, n’est-ce pas ? Il y a un sentiment de déconnexion qui résulte d’une communication désordonnée ou irrégulière, surtout lorsque les managers sont censés vous gérer et gérer vos efforts. La leçon ici est simple : si vous comptez gérer ou travailler dans, une équipe à distance, parlez entre vous. Les membres de votre équipe s’y attendront si vous leur dites de s’y attendre. Faites-leur savoir que vous communiquerez très souvent avec eux et vous constaterez que l’agacement diminue rapidement. Faites de la sur-communication une partie de la culture de votre équipe à distance.
Surcommuniquer de façon aléatoire
Maintenant que vous surcommuniquez avec votre équipe à distance et que vous le faites selon un calendrier régulier (réunions, check-ins, etc.), saupoudrez de quelques communications aléatoires ici et là. L’objectif n’est pas de pousser les membres de l’équipe à bout en mettant leur patience à l’épreuve. Il faut donc que les contrôles aléatoires soient personnels, brefs et ciblés. Vous pouvez offrir des encouragements, un compliment ou demander une mise à jour rapide d’un résultat spécifique. Ces surcommunications aléatoires font savoir à votre équipe que vous êtes engagé et intéressé. Vous prêtez attention à eux et à leur travail. Ces check-ins courts et spécifiques construiront davantage votre culture de connexion par la communication. J’ai trouvé cela réaffirmé dans ma récente expérience de fondation d’une startup, Pushpyns. Il est plus que difficile de réunir une équipe internationale de concepteurs et de développeurs, ne serait-ce que pour un bref entretien. Dans de nombreux cas, c’est impossible. J’ai constaté que lorsque je peux réunir tout le monde en même temps, je préfère le faire régulièrement. Entre ces réunions d’équipe et les réunions individuelles régulières, les performances individuelles de mon équipe ont augmenté de manière significative, car je vérifiais aléatoirement avec chaque membre de l’équipe.
