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La technologie, les nouveaux médias, les réseaux sociaux en particulier exercent leur bonne et mauvaise influence sur les individus. Alors qu’ils recèlent d’énormes avantages qui viennent avec l’adoption des plateformes de réseaux sociaux à des fins de marketing, l’utilisation non censurée peut conduire à la dépendance. En effet, la dépendance aux réseaux sociaux peut être aussi envahissante que la dépendance aux substances ou toute autre habitude contraignante. Or, comment peut-on être qualifié d’accro aux réseaux sociaux ? Il est vrai qu’il existe des individus qui sont contraints de vérifier leurs profils Twitter, Facebook, Snapchat ou Instagram au fil des secondes. Par exemple, une personne qui accorde plus d’importance aux interactions avec la machine qu’à ses semblables peut être un cas flagrant de dépendance aux réseaux sociaux. Si Instagram est devenu votre priorité par rapport à votre famille ou à vos amis, il se peut que vous fassiez partie des nombreuses personnalités qualifiées d’accros.
L’addiction sous de nombreuses formes
L’addiction aux réseaux sociaux se présente sous de nombreuses formes. Certains accros se révèlent être des likers en série. Ils ont des notifications pour les moindres mises à jour sur les plateformes Facebook ou Twitter. Ce sont des ninjas proverbiaux qui ont un syndrome compulsif qui les pousse à réagir aux activités des réseaux sociaux 24 heures sur 24. Étonnamment, la majorité de ces accros traqueront des personnes connues et inconnues pendant des heures ou des jours sans objectifs précis. Avec les médias sociaux, il est difficile de dire quand une habitude de navigation transcende le seuil normal et devient une addiction. Par exemple, il est délicat de déterminer si un individu est dépendant s’il passe 2 à 3 heures sur des tweets ou des mises à jour aléatoires d’inconnus. En revanche, certains utilisateurs manifesteront une tendance déréglée à faire défiler, aimer, s’abonner compteur de réseaux sociaux à sharedcount.com et retweeter toute la journée. À ce moment-là, on peut dire que ces fanatiques ont franchi la ligne. On peut penser que tous les accros aux réseaux sociaux ne présentent pas les mêmes tendances tout au long de la journée. Certains sont trop ancrés dans l’habitude tandis que d’autres sont des accros légers à légers. Il est facile de classer les accros aux réseaux sociaux dans de nombreuses classes en fonction de la gravité et de la nature de leur obsession pour ces plateformes.
Personnalités distinctes d’accros aux réseaux sociaux
Identifier les accros aux réseaux sociaux est facile étant donné qu’il faut regarder de près les modèles et les habitudes auxquels ils adhèrent. Ces personnes seront accrochées à liker avec passion, éviteront les voyelles, jusqu’à des accès purs et simples de colère et de rage si le web ou la connectivité internet tombe en panne.
Le vérificateur constant
Vous avez déjà vu une personne qui ne cesse de vérifier son téléphone à chaque fois et à chaque minute ? C’est une indication que le vérificateur constant ne peut pas vivre ou respirer sans nourrir sa curiosité sur ces plateformes. Beaucoup d’entre eux auront des notifications push qui les alerteront chaque fois que leurs publications auront été aimées, retweetés ou auront reçu une réponse. Ils ne se soucient ni du lieu ni de l’heure et ne reculent devant rien pour satisfaire leur addiction. Au bout du compte, ils feront dérailler leur emploi du temps, prendront du retard dans leurs tâches et seront toujours distraits.
Le Serial Liker
Les individus affichant une tendance à aimer les posts d’amis et d’inconnus entrent dans cette catégorie. Ils sont trop paresseux pour taper et ils finissent par appuyer sur le bouton like pour chaque post. L’obsession du bouton like ne leur permet pas de taper le mot le plus court pour reconnaître, apprécier ou féliciter leurs amis. Avec cette catégorie d’accros, l’idée est de suivre l’activité sur une plateforme donnée, bien que de manière passive.
Celui déteste les voyelles
Il n’est pas surprenant que ces personnes sautent les voyelles lorsqu’elles publient sur les réseaux sociaux. À l’extrême, certains accros, avec le temps, le feront de manière compulsive. Ces personnes écrivent les messages les plus courts et les plus bizarres qu’il est difficile de comprendre. Pour une raison ou une autre, cela peut finir par affecter leur écriture lorsqu’ils sont appelés à rédiger un rapport formel. Dans les faits, un nombre important d’entre eux sont contraints de sauter les voyelles pour tenter de gérer le nombre de caractères autorisés sur certaines plateformes.
Conclusion
Dans l’ensemble, il n’est jamais trop tard pour les individus qui ne peuvent pas expirer deux fois avant de vérifier les dernières nouveautés sur Facebook ou Instagram. Pour remédier à la situation, ces personnes peuvent être sevrées en suivant un régime qui implique une utilisation équilibrée de la technologie. Limiter les heures passées sur les réseaux sociaux n’est pas facile au début, mais avec le temps, c’est possible. Encourager de nouveaux passe-temps hors ligne fonctionnera de la même manière que rompre l’utilisation des appareils mobiles.